Au cerf argenté

L'un des nains écouta comme ses homologues, Orik parler, et rétorqua sèchement :

C'est à toi qu'on devrait reposer la question ? Qui tu es ? Notre chef ? Nan ! Donc tu nous donnera des ordres plus tard.... Ici on a pas besoin d'un gars comme toi qui se la ramène, à cinq contre un, on s'amuserait facilement. Alors ne joue pas ton malin l'ami.

Orik se mit la main dans les cheveux en soufflant lourdement.

**Ce ne sera pas de la tarte de les déloger d'ici ceux là....il va falloir utiliser une autre méthode..**

Orik se mit à côté du nain qui lui avait sèchement répondut et lui dit:

Tu sais ce qui se passe là, Krackar est partit seul oû il va devoir traverser toute la plaine en affrontement milles danger pour allez dans la grande citée arkanoise pour je ne sais quel missions, alors que toi mon frère tu est en train de boire joyeusement, le cul bien assit sur ta chaise dans cette chaleureuse taverne et plus, vous mettez la note des bières à payer sur le dos de Krackar. Mes frères, je croyais que notre peuple avait un plus grand sens du respect et de l'estime envers autruie. Et non je ne suis pas "le chef", c'est Krakcar mais il n'est pas là pour l'instant, je vous demande juste d'arrêter de boire...Vous allez les payer ces bières au moins?

Orik s'interrogea jusqu'a même se demander si la quête de Krackar ne serait pas plus simple que la sienne. Il regarda les nains autour de lui espérant qu'ils l'écoutent.

L'un des nains prit l'avant

Écoute, je sais pas d'où tu sors toi... Mais nous c'est pas la première fois qu'on est sous la tutelle d'un chef. Et tous, payaient la boisson et le logis pour les autres : alors aujourd'hui si c'est pas le cas, nous payons, et repartons d'où on est venus...

Les nains se regardèrent et l'un d'eux, le plus jovial de tous, avança son visage souriant vers Orik :

Très bien alors espérons juste qu'il va la réussir pour payer ses dettes ici.

Les nains rièrent aux éclats, en groupe, ils se trouvaient que dans pareille position, ils demeuraient plus forts que Krackar lui même, et ceci, ils savaient en jouer.

Orik commença à sourir puis rigola aux éclats comme les autres nains.

**ahh...Ce sont bien des nains...et des dures...**

Orik prit la parole :

Bon, je vais faire un tour dans le village et les environs pour trouver du travail. Je n'aime pas tourner en ronds ici..ça sent trop l'alcool et le tabac.

Orik inspira dans cette ambiance lourde de la taverne, il ouvrit la porte, fit un signe au tavernier et sortit dehors.

>> suite dans Village Barbare

Krackar
se dépêcha d’entrer dans la taverne barbare. Dehors, l’orage battait le ciel
d’immense rayon de lumières. A croire que les dieux était là pour annoncer un
nouveau chapitre dans les histoires D’Arkand.


Krackar
était déjà trempé de la tête aux pieds. Il était toujours accroupi, cela
devenait agaçant. Aucun lieu n'était construit pour abriter un géant comme lui.
Il comprenait alors pourquoi les géants vivaient au milieu des montagnes. Le
géant, n’avait pas de toit, pas de plafond. Les géants vivaient alors au plus
près des dieux, et dans un environnement merveilleux. Il s’approcha du comptoir
pour demander une boisson chaude.




"-Krackar vouloir prendre boisson chaude, pour réchauffer près du feu."

Une belle jeune fille, la cadette des soeurs de Thref, fille du tavernier donc, s'approcha de Krackar les yeux papillonnants de séduction

Tou... ouhlala... Tout de suite monsieur le Grand Héros

Dit-elle timidement en rougissant, mais avec ce léger ton de séduction au creux de la gorge. Elle ne se fit pas prier pour servir à Krackar une Bière chaude - spécialité du coin - des plus copieuses.

Voilà pour vous.

Elle resta devant Krackar, reposa ses coudes sur le comptoir en liant ses mains sur ses joues. Cette position dévoilait tous ses charmes, et une grande partie de ses généreuses formes.

Vous êtes si... Merveilleux. Vous... Vous avez été tout seul recherchez mon frère dans la ville d'Arkant ! Et on dit que vous avez battus toute la garde pour le sauver ! Mais c'est extraooordinaire !

Sa arrive très peut de fois dans la vie, on a beau l’avoir tous vécu, après ça reste encore un mystère. On tente de comprendre, de l’étudier sous toutes ses coutures, mais rien à faire… Oui, vous savez, cette masse tomber du ciel qui en même temps de vous assommez vous fait quitter la terre ferme. Oui, vous ne vous trompez pas. L’amour à frapper à l’oreille de Krackar et l’a transformé en « Con qui t’adore ». Un géant immense qui tente de se cacher derrière ses genoux plié en deux pour pouvoir tenir dans la taverne.
En même temps de se transformer en pied de tomate de trois mètres de haut, Krackar tentait de glisser un timide merci à la jeune barbare.
Alors que le géant rouge comme un camion de pompier tentait de boire la choppe, la jeune barbare se mettait dans une position plus décontracté. Krackar ne put alors se retenir de s’étouffer en avalant la bière chaude.



-"Krackar avoir voulut faire ça, mais Krackar avoir été sauvé par Therf surtout."



Il fit un sourire en reposant la choppe vide sur le comptoir. Pour ne pas laisser la jeune femme comprendre que Krackar avait été incapable de sauver le chef barbare, et qu’il ne méritait absolument pas le titre de grand héros.



-"Mais parlez de vous à Krackar. Krackar entendre beaucoup sur votre frère à travers pays, mais de sa sœur… Jamais, pourtant elle mériter grands honneurs."

Je vous ait mentis... Je... Je ne suis pas sa soeur.

Dit-elle d'un air taquin

...Je n'ai trouvé que ce prétexte pour vous aborder.

Elle fit papillonner ses cils, de manière sporadique, comme des petites ailes qui par le souffle émanant, envoyait des giclées d'amour aux odeurs de roses.

Vous aimez ?

Si Krackar, ou bien vous chers lecteurs, vous étiez perdus dans cette histoire de cils, à en humer toutes les plus tendres saveurs érotiques qui pouvaient en éclater, vous avez sûrement pensé que cette dernière phrase prononcé par la demoiselle faisait référence à sa pratique vaudou d'envoûtement, et de ces cils, battant la chamade contre ses pupilles.

... La Bière... vous aimez ?

DEOENNN !!!

Hurla une voix dans la remise, derrière le comptoir

Oui oui, j'arrive !

Elle plaça ses bras autour du cou de Krackar, qui assis, était à hauteur, et lui déposa, non pas un, ni même deux, mais trois tendres et doux baisés sur la joue, évitant avec un zeste de grâce les quelques poils de barbe qui venaient se chamailler autour de ses lèvres - peut être qu'eux aussi réclamaient de l'affection, à défaut d'en recevoir de Krackar lui même.

DEOEEENNNNN BORDEL !

J'arrive !

Elle ne lacha pas le géant du regard, jusqu'à s'engouffrer dans la remise.
A côté de Krackar, un vieux paysan édenté buvait une corne de vin, s'approcha doucement du géant et lui chuchota

Vénale ! Elle est vénale la gamine... Ce qui l'intéresse c'est pas ta belle barbe et ton courage mon gars, c'est l'fait qu'tes bien portant d'or.

"Comme mademoiselle préférer."

Krackar ne connaissait pas la solution à se dilemne profond et ardent. Il regarde la jeune serveuse d'un regard vide, traduisant une solution qu'il n'as pas.

"Krackar faire se qui plait à mademoiselle, si Krackar devoir partir."

La demoiselle ne savait fichtre rien de plus à propos de la guerre, elle se contenta de reformuler plus clairement que les Barbares du Nord se rendaient en Arkant pour bouter le Duc hors du trône. Elle lui montra sa chambre - pas du tout faite pour un géant car les lit étaient standards - et Krackar passa une nuit agitée, non pas parce qu'il dormit mal, mais parce qu'elle resta avec lui et qu'ils ne dormirent pas.... non, ce n'était qu'un rêve, appréciez mon entourloupe digne des navets du mauvais Hollywood.

Le lendemain matin, on vint l'éveiller en lui disant que les troupes Barbare étaient déjà partie pour Arkant et que Thref avait sûrement pensé qu'il était déjà partis pour d'autres aventures. On ajouta que s'il partait de suite et à la hâte, à pas de géant il pourrait les rattraper. Un voyage de plus ?