Grande Porte d'entrée des mines

Analte vit de loin la porte. Il s'avança vers la grande porte. Espérant qu'elle soit ouverte il continua de se diriger vers le rampart, se demanda

Est-ce que les habitants ont reçus l'infromation de notre victoire sur les cyclopes ?

Priant pour que cette infoormation soit arrivée, il s'arrêta devant la porte et frappa en criant

EST CE QUE QUELQU'UN EST LA ET PEUX M'OUVRIR ????? SVP !!!!!!!

Attendant une réponse il décida de s'assoir devant la porte gigantesque en contemplant l'architecture de la porte et en observant autour de lui si jamais un monstre surgissait pour le tuer.

Dans ce silence inquiet, Analte frémit de peur tout en regardant si jamais quelqu'un venait dans son dos.

Le nain ne voulait pas rester ici plus lontemps mais il décida de retenter une nouvelle fois et si jamais personne ne répondrait, il s'en irait.

Il s'avanca vers la porte une nouvelle fois

JE SUIS LE NAIN ANALTE, NOUS AVONS GAGNE LA BATAILLE CONTRE LES CYCLOPES. OUVREZ MOI SVP !!!!!!

Après avoir dit cela, le nain recula pour ne pas etre surpris si jamais une bête sortait de la cité.

Toujours surpris de ce silence Analte dit tout bas Tout cela est très bizarre. Je me demande comment ca se fait que personne ne répond.

Orik arriva de son voyage oû il était partit la veille, il vit une petite silhouette devant les grandes portes, il avança tranquillement vers cette silhouette puis il remarqua que c'était le nain qu'il avait soigné et qui partit sans lui dire au revoir.

**tiens, le revoila celui-là!!!!**

Orik alla à sa rencontre et lui dit:

Salut mon frère, comment va-tu? Je vais pouvoir répondre à la question que tu m'avait poser au camps mais tu est partit avant que je te réponde, enfin bref, moi je suis ici pour apprendre à maîtriser les runes, je sais en utiliser quelques uns et je les étudier dans les livres mais je ne serais pas en faire. Sinon que fais-tu ici, à la grande citée naine? Et pourquoi tu n'y rentre pas!!hahaha!!tu a peur de tes frères? Ou ils sont tous partit!?mouahaha!! Bon j'arrete mes plaisanteries, alors pourqui tu ne rentre pas?

Orik avec un large sourire au lèvres atendait la réponse de l'autre nain. Il était heureux de revenir dans sa contrée.

Analte se retourna brusquement et vit le nain Orik qui l'avait soigné au camp de guerre.

Salut frère. Ecxuse moi pour la dernière fois de ne pas t'avoir dit au revoir mais j'étais très tendu et très pressé, mais j'aurais dû prendre le temps pour te dire au revoir vu que pour l'instant nous sommes bloqués ici. Je suis venu pour me faire forger une épée car en arrivant sur ce continant je n'ai trouvé que ces 2 dagues médiocres. Je ne sais pas ce qui se passe ici mais ca a l'air très bizarre. Ca fait 2 fois que je crie mais personne ne me répond et cela m'inquiète beaucoup. Est-ce-que tu aurais des suggestions sur ce que nous pourrions faire ? Personnellement j'en n'ai aucune.

Se postant à coté de son frère, Analte observa de nouveau la porte géante essayant de distinguer le moindre bruit ou le moindre signe de vie à l'intérieur de la cité.

Analte s'assayant et regardant Orik

Je crois que l'on a pas le choix, soit nous attendons soit nous partons. Je préfère quand meme attendre au cas où il se passerait quelque chose, en espérant que rien de grave est arrivé. Il y a peut-être une cérémonie ou une fète pour justifier cette absence. Je ne sais pas quoi pensé et ca m'inquiète beaucoup.

Analte restait là, assis, regardant si quelque chose bougait au son de la voix d'Orik.

Analte regardait ébahi la porte massive s'ouvrir devant l'armée naine et se demanda pourquoi la porte c'était ouverte devant l'armée mais pas devant lui ni Orik.

Le nain se joignant à l'armée pénétra dans la magnifique cité naine et pris la direction de la taverne.

Une symphonie métallique perça l'unique son de la brise des montagnes qui enchantait le silence. La grande porte des Mines Naines et de la Cité de Karak-Irn s'ouvrait devant le géant. La porte, d'une immensité perturbante, pouvait laisser passer en hauteur, comme deux géant en acrobates, l'un sur l'autre. Krackar put s'avancer pour s'annoncer devant les gardes, six nains, en armures de bronze, pointant sur lui des arbalètes à répétition de belle facture.

Recules donc ! Géant ! Ennemis des montagnes ! Tu sers d'éclaireur pour tes compagnons ?

Menaçant, et pointant son arbalète vers la tête du géant, un autre nain héla :

Tu parleras ! Combien êtes vous derrière les pics ? Combien êtes vous à préparer votre attaque ?

"Du calme nobles soldats nains. Je vient en paix."

Krackar posa la pointe de sa hache sur le sol, en signe de refus de toutes sortes de combats. Il se baissa vers le premier garde avec un large sourire et doucement s'avança vers les nains. Il fit glisser sa hache contre le sol pour terminer avant de se présenter.

"De là où je vient, on se présente lors de notre première rencontre. Je me nomme Krackar, dit le gros. Champion de l'arène. Je ne vient vous sauver, ni vous rassurer. Je vient de l'Est, une malédiction pèse sur les murs d'une ancienne tour de garde des soldats d'Arkant et malheureusement se rapproche plus de vos murs et de ceux des villages barbares. Surtout que le duc d'Arkant n'as jamais été l'homme capable de régler les problèmes.Enfin, je suppose qu'un géant comme moi, ne pourrais que vous aidez. Mais déjà les dieux on fait des géants des victimes, nous sommes peut, et souvent les meilleurs combattant qu'il soit. Fort et résistant. Vous aurez besoin de moi pour protéger vos portes si une attaque se produit.

J'aurais juste besoin de repos, de soin, et d'un peut de confiance de votre part. Je suis déjà venu ici il y a quelque année. Déjà à une heure grave de notre époque, j'ai combattut avec vous, face aux minotaures et aux cyclopes. Ne laissez pas les nuages sombres du présent recouvrir vos amitiés d'en temps."

Bien étrange était la façon si rapide qu'avait notre bon Krackar à quadruplé son quotient intellectuel ou bien à étoffer mille fois son vocabulaire. Rappelons que celui-ci possède selon mes chiffres une intelligence deux fois inférieure à celle d'un être jugé "normal" sur ce point. Les nains prirent ceci comme la récitation d'un discours appris par coeur. Courageux et braves, sans être téméraires, ils n'hésiteraient pas à charger ce balourd s'il le fallait, mais ils préféraient user de diplomatie et discourir. Lorsqu'ils apprirent que c'était le Géant qui avait combattus les cyclopes avec les armées de Karak-Irn et des Royaumes Minotaures, ils écarquillèrent les yeux et s'avancèrent tout sourire

Bon dieu ! Par la barbe de mon oncle ! C'est donc toi... Tu nous r'connait pas ?

Ils retirèrent leurs casques de bronze pour découvrir leurs visages

Tu nous r'connait hein ! C'est nous... On était avec toi au village barbare ! Krackar ! Le bon vieux Krackar... Alors... Cette guilde ? Elle en est où ? On ne t'a jamais vu revenir, alors on est revenus ici où on nous a embauché dans l'armée.

Krackar relacha le papier où il avait inscrit un petit discourt au
cas où son entré tournait mal. Il jetta le papier et le sac au sol pour
mettre une main sur l'épaule des deux nains. Il leva la tête vers le
ciel en les invitant à le faire.

"Vous avoir fait grosse bétise à Krackar. Krackar maintenant
vouloir savoir si vous être de confiance, si Krackar mettre sa vie
danger pour vous protéger, vous protégez aussi Krackar. Sinon Krackar
pas vouloir être compagnon d'aventure de vilain nains."

Il regarda les nains dans les yeux.

"Maintenant vous devoir me répondre. Ensuite nous réfléchir à se que nous faire, ensemble ou non."


Il était évident que Krackar n'avait pas besoin de plus de
poisse. Lui d'un naturel maladroit avec des nains intolérents,
bièrophile et fénéant. Cela ne pouvait que l'encombrer plus. Mais si
ceux qui hier furent traitre, décident de rembourser leur dettes où du
moins juste aidé communument chaqun des partit en apportant richesse et
prospériter. Tout en défendant valeureusement la justice et ceux
qui en on le plus besoin. Car dans se monde, pour vivre, il faut savoir
se défendre. Durement, ardament et plein de trucs en ment, mais je vous
ment pas. Revenons au sujet. Les retrouvailles de Krackar et de ses
deux nains. Que vont faire ses deux nains? Le rejoindre pour de
nouvelles aventures, on faire une carrière toute faite dans les
cerceuil de l'armée.

Les nains se regardèrent, et l'un d'entre eux ne tarda pas à rétorquer

On a de l'honneur mon pote. Et ici, on doit servir le Grand Frar et les Rois à ses Ordres. Bon, j'accepte de concevoir que garder les portes c'est pas ce qu'il y'a de plus passionnant, mais j'ai des engagements, et lui aussi, c'est toi qui est partis en nous laissant... c'est toi qui n'a pas tenus tes engagements. Nous, on est restés, cinq jours et cinq nuits à t'attendre dans la Taverne là bas, puis on est partis, nos désirs d'aventures détruits, on est venus se plonger dans le dernier recours pour les nains sans vie, l'armée.

On a appris quelque chose qui pourrait te plaire. Enfin, en soit, c'est le présage de pas mal d'horreurs. Les grands maîtres des runes annoncent qu'Arkand ne va pas tarder à se dérégler, et que ce monde va foutre le camp du mauvais côté, y'a des trucs louches qui se trameraient apparemment du côté du Grand Monde, et les montagnes seraient pas assez solides pour retenir cette furie cataclysmique.

Ils ont déjà prévus. Frar à un fils, Thorìn, il y'a quelques années, après les attaques gobelines sur la cité de Karak Irn, il était partis avec son gosse au delà des mers, il est le seul à en être revenus, il dit que tout ceux qui passe le rideau vers l'au delà des mers perde un peu la mémoire, et oublie ce qui s'est passé dans ce bas monde. Il serait l'exception à la règle. Sûrement sa sagesse qui fait qu'il est immunisé à ce genre de trucs.

Ici, Frar n'est plus Roi, mais il représente le Haut Conseil des Sages, il a donc autant de pouvoirs que tous les Rois des montagnes réunis, du moins, on l'écoute toujours.

Il propose que tous les nains fuient Arkand, ils faudraient donc qu'on partent tous sur la Terre du Dragon, là bas, où son fils est devenus un Grand nom.

Asgurianne. J'crois c'est un truc comme ca.

Nous. On aime l'idée. Ici. Qu'est ce que je ferais d'autre que garder des portes ? Là bas j'ai sûrement un avenir plus prometteur, et Frar nous conseillera à son fils Thorìn, pour sûr.

Notre choix est fait mon gars.

"Krackar ne pas vous comprendre. Pour vous Nains, les ancêtres être très très important. Vos ancêtres avoir lutter pour protéger votre avenir ici. Vous devoir faire de même pour vos générations futurent!"

Krackar abaissa sa capuche en tête de tigre à dent de sabre, et regarda ses interlocuteurs de son visage ensanglanté.

"Aider Krackar aujourd'hui, réglons malédiction après que Krackar c'être soigner et demain Krackar promettre se battre pour sauver Arkand. Krackar digne champion d'Arkand!"

Les deux nains se regardèrent... Leur choix était de toute façon clair et décidé, mais ils acceptaient l'idée d'un geste.

On te dois surement bien ça. Je ne sais pas de quelle malédiction tu parles, mais, au vue du sang sur ton visage, ca doit être costaud. On va venir avec toi, pour régler ça. En échange, on te demande de nous escorter jusqu'à un endroit secret où nos pères, qui étaient eux mêmes complices comme nous le sommes tous deux, ont enterrés leurs richesses pour que nous puissons les retrouver le moment voulus. Nous voudrions partir avec ce trésor, vers Asguryanne. Si l'on t'accompagne face à ta malédiction, tu dois promettre de nous accompagner sur notre quête. Marches tu ?

"Krackar ne marche pas! Krackar cours!"

Depuis quand un géant comme notre champion pouvait refuser une aventure?
De plus, si cela pouvait donner un coup de main à des amis, le géant n'hésiterait pas. Mais Krackar aussi courageux qu'il est, ne pouvait repartir au combat dans cet état.

"Mais Krackar besoin avant tout, de protéger enfants" Il tendait le sac qu'il portait sur son dos. Rien ne signalait la présence de la vie d'enfants à l'intérieur. Il posa le sac au sol devant les nains.
"Avant que vous risquez votre vie avec Krackar, Krackar vouloir vous expliquer se qui se passe. Krackar, il y a très longtemps aller dans une tour. Le jour où chef barbare marcher avec armé vers Arkant, Krackar être partit plus tard et c'être perdu. Krackar retrouver la tour, mais tour réparer, tour neuve, tour belle.
Krackar rentré dans tour et trouver vielle amis, Marchemort. Amis parler et Krackar ne pas tout comprendre.
Après, un autre Krackar arrivé par derrière. Là, Krackar se faire attaquer par tout le monde. Krackar avoir comprit que enfants" Il montrait du doigt le sac. "Pas être enfant du deuxième Krackar.
Tour avoir malédiction, qui rentre fini avec un jumeau." Les gros doigts du géant tentait de compter sur ses doigts pour expliquer le "double".

"Krackar espèrer vous montrer où trouver soin. Krackar blesser."