Tour délabrée à l'ouest d'Hyrod

Des pas raisonnaient dans toute la bâtisse, deux gros lourdaud bien bedonnants arrivèrent armés de poutres. Oui, vous l'avez bien entendus, des poutres. C'était Vladov et Hygor, les frères, et derrière eux se dessinait la maigre silhouette d'un petit vieillard aigris reposant sur sa canne.

Qu'est ce que tu fous là enfoiré !

Hurlait-il au vrai Krackar comme un petit fou, du genre enfant de cinq ans en crise.
Le Minotaure et sa dulcinée s'avançaient sur le côté du seuil, afin de laisser passer les deux frères qui s'apprêtaient à assommer Krackar s'il essayait d'attaquer. Autant dire, qu'entouré ainsi, il serait vraiment ubuesque pour notre champion d'Arkant de tenter quelque chose, Marchemort et sa folle de compagne étant eux aussi prêt à agir si le Géant daignait frapper.

L'autre Géant, l'autre Krackar, pleurait à chaudes larmes : sa mère l'avait trahis, et son enfance entière s'écroulait comme un vulgaire château de carte. Toujours persuadé d'avoir devant lui, un frère plutôt qu'un clone.

Krackar déposa la pointe de son arme contre le sol en tenant toujours le manche de sa hache entre les mains. Tout pouvait se régler autrement, il ne tenait qu'à eux de bien parlementer. Car il ne sera pas question non plus d'une discussion ou les arguments aurons le même poid. La totalité des representants du côté de ses adversaires, fait le pouvoir en place imprenable. Mais alors même qu'il abandonnait sans gloire et sans grandeur, il comprenait que la fin était là. L'occasion de tué leurs doubles est une occasion inespérer, leurs complices pourraient rendre le corp aux autorités du village où à été volé l'enfant.
Il ne pouvait pas mourir comme ça, sans rien faire. Il devait tenter un plan... Vite quelque chose... Il ne faut pas seulement foncer dans le tas, c'est trop risquer. Pour en venir à bout d'un de ses hommes, il avait dut si mettre à trois fois, et encore, ils étaient deux. Le double de Marchemort était un adversaire conbattable en un contre un... Mais le pire c'était le deuxième Krackar... Quelqu'un d'égal force, d'agilité, de vitesse, quelqu'un d'impossible à battre. Si il devait combattre un adversaire sa serais celui ci en premier. Lui de supprimer, la moitié de la force de frappe direct des ennemis est supprimé.

"Si je me rend, vous ferez quoi de moi? Pour faire le "pour" et le "contre",juste pour savoir quand on en fini."

Il se tenait debout de toute sa grandeur avec un sourire, regardant de haut tout les êtres l'entourant. Il y a peut de chose que l'on peut comprendre dans se monde. Se qui amène les gens à naitre, à mourir. Mais aujourd'hui, plusieurs personnes mourons. Que la malédiction soit rompue ou non, peut importe. Se qui compte c'est le combat de vies qui s'affrontent à mort. Dans le sang et la sueur, jusqu'a se que chaque vaisseau du corp explose sous l'effort, et que l'esprit dans une decharge neuronale rendent les esprits impulsifs et la folie sanguinaire.
Toujours souriant, Krackar leva le regard au ciel.

"Tant pis"
La tactique à court therme étant de fuire, il devait au moin s'occuper de celui qui était toujours près de la porte, celui qui bloquait toujours le passage pour les escaliers pour la sortie, pour être enfin dehors... Cette personne là elle était derrière lui, c'était Krackar, son "double". En se retournant à bonne vitesse, en jouant avec légereter de ses pieds,puis il se retournerait pour fondre un coup diagonal de en haut à droite à en bas à gauche, un coup suivant la continuation total du corp. L'adversaire occis pas le temps de récupérer enfants où preuvent de la mort de son double, il fuirais comme une furie. Mais cela ne c'était pas encore passer, rien avait commencer. Rien était terminer. Il pouvait tout faire, comme ne pas se défaire... Il se retourna et frappa Krackar par surprise.

Tout partis très vite. Le vrai Krackar fit faire à sa Hache Ergir gagnée au Colisée Arkantois, un mouvement rapide et précis qui vint frapper son double en plein thorax, le sang se répandit très rapidement, sur les murs comme sur notre héros. Le coup avait été d'une démente puissance, et d'une rapidité bien trouvée. Le gros géant n'était pas des plus rapides, ni même des plus intelligents, mais il avait pris le temps de choisir le moment le plus opportun pour frapper, et surprendre son adversaire. L'autre Krackar s'effondra, lâchant le sac qui contenait les enfants, qui déboula les escaliers dans les cris de douleurs des bambins. Le kidnappeur titubait, puis, dans une rage barbare, se releva d'un coup d'un seul dans un semblant de dernière action, armant son lourd poing dans les airs, et venant le faire pénétrer avec une puissance tout aussi étonnante que son homologue, en pleine face de notre gentil héros. Krackar, le véritable, avait les deux arcades sourcilière en sang, et le nez défait, la douleur le tiraillait et il n'y était pas vraiment habitué, lui, qui gagnait tout.

Le faux Krackar perd 57pv
Le vrai Krackar perd 31pv

Mais malgré ses blessures, notre héros de l'arène devait continuer de se défendre. Et c'est par une multitude de prouesse technique qu'il y parvint. D'abord, les deux lourdaud l'attaquèrent, l'un derrière l'autre, armant leurs monstrueuses poutres au dessus de leur tête pour les abattre sur Krackar. Le double de celui-ci s'était effondré dans les escaliers après son ultime et ravageur coup de poing, c'est donc impuissant qu'il assistait à la suite des événements. Hygor frappe le premier, la poutre s'abattit sur Krackar qui brandit sa hache au dessus de sa tête pour se protéger. Époustouflant. Le Géant repousse la poutre d'Hygor, et contre-attaque dans la foulée d'un violent revers sur le bras porteur du premier lourdaud. La lame ne trancha pas, c'est le plat de l'acier qui fit mal, et Hygor lâcha son arme dans la douleur, qui elle aussi dégringola les escaliers pour venir s'écraser en contre bas, sur le corps usé de l'autre géant. Vladov, devant l'échec cuisant de son frère, tenta à son tour d'attaquer... Krackar était dans son jour de prouesses, et il repoussa de nouveau la poutre en poussant un râle puissant, comme celui des tennismans, puissance dix. Vladov, lui, ne lâcha pas son arme plutôt primitive et s'écrasa simplement contre le mur, manquant toutefois de tomber du seuil.



A peine Krackar avais t'il eu le temps de reprendre son souffle que Nyla, la grosse demoiselle amoureuse de Marchemort - et réciproquement, croyez moi - avait armé son poing dodus qu'elle dirigea avec une certaine détermination vers le faciès de Krackar qui l'évita pour la laisser s'encastrer sur son frère qui s'était pris le mur. Marchemort, lui, serrait les dents de rage de voir l'élue de son coeur se faire ainsi malmener, il arma sa hache et d'un revers agile, vint frapper vers la garde de Krackar, qui dans un petit instant d'inattention - qu'on lui pardonnera - n'avait pas vu le Minotaure arriver. La lame ne toucha pas non plus, c'était encore une fois, le fer plat de la lame qui vint frapper lourdement la main du Champion d'Arkant, qui ne put s'empêcher de mimer la douleur. L'une de ses mains étaient sérieusement handicapée, la frappe lui avait complètement engourdie les doigts, et peut être même casser certains. Krackar devait désormais combattre avec une seule main sur sa lourde hache, ce qui l'épuiserait bien plus vite, et rendrais ses attaques plus approximatives.

La situation était grave. Il ne voyait plus grand chose, ses yeux couvert de sang, le rendait aussi dangereu qu'une taupe. Et il y avait se bras, se bras qui faisait mal. Pourtant il avait eu beaucoup de chance, il n'en revenait pas. En quelque sorte, rien n'aurait put se passer mieu... Enfin, sa aurais put être pire. Bref, se n'était pas le moment de se satisfaire d'un début de combat bien engagé. A se niveau, les combats se joue souvent en deux coups. Par conséquent il est important de bien calculer chaque coup, tout en neutralisant le plus vite le plus grand nombre de personnes. Il reste Marchemort avec sa hache, sa femme et son poing d'opérationnel. Les autres hors de l'échiquier que se fait krackar dans sa pensée ne serons que les prochaines victimes de se carnage.

"Laissons ta femme en dehors de ça, Je n'ais pas envie de frapper une dame et je croit que tu n'as pas envis de risquer qu'elle se face tué. Je ne tuerais pas ses frères. Etant donner que les originaux ont été tué par le véritable Marchemort. "

Krackar devait maintenant mettre en place quelque chose, abattre les cartes, retourner les jockers, sortir de son sac des coups que lui seul sait imaginer. Faire de se combat une mélodie des fers et des cris, une danse bucolique au milieu des fleurs immaculées. Que sa hache batte le temps, et de la double pédale messieur! Pas moins pas plus!
Avec un bras il fallait usée de malice, l'attaque moin rapide ne pourrat pas surprendre l'adversaire, c'est certain. Il faut donc détourner l'attention, mais si il donnait un coup de poing avec son bras en utilisant la force de son épaule avec le bras tendut. Il se couperait surement le bras avant de donner le coup final. Qu'il ne pourrait surement dorévant ne plus donner. Parcontre dans le sens inverse, tout était possible si la femme de Marchemort avait réussi à lui faire aussi mal avec un coup de poing, il devrait en faire suffisament sur celui ci. C'était coup double, il pouvait même neutraliser la hache de son adversaire en ne frappant pas le combattant mais le manche l'obligeant à parer. En esperant que l'exiguïté de la salle ne lui permette pas de reculer subittement.
Il mit toute sa force dans se coup à la perpendiculaire de la vertical sur le haut des épaules de Marchemort, ici il ne sera qu'obliger de le parer. L'objectif étant d'exploser les côtes de sont adversaire avec un violent coup de genou après avoir bloquer de sa main utilisable la hache de son adversaire après avoir lacher la sienne. Le moment de l'impact était le moment ou il fallait tirer sur l'arme pour profiter de la surprise pour en être en mesure d'occire son adversaire. Evidemment le coup de genou serais de l'autre côté, car le choque risquait en même temps de crisper les muscles du Minotaure.

Le plan de Krackar ne s'était pas déroulé comme il l'aurait souhaité. Tout bêtement car Marchemort ne parvint même pas à esquiver la première attaque de hache, du moins, il fit une parade réflexe mais la lame vint tout de même ricocher sur sa peau, et lui provoquer une belle entaille. Décontenancée par cet échec, et surtout par la douleur qui le gangrenait, il se laissa distraire, laissant l'opportunité au Géant de frapper de son genou. Rude. Le choc fut rude. Marchemort avait quelques cotes fêlées et beuglait de douleur, il laissa tomber sa hache au sol et s'agenouilla en crachant du sang.



Nyla se saisit alors de la hache de son époux et se lança à corps perdus vers Krackar, en poussant un cri horrible et strident. Le coup de hache effleura l'épaule de notre géant qui l'esquiva en se poussant sur le côté. Nyla ne put arrêter sa course et dégringola lourdement dans les escaliers pour atterrir en bas, avec l'autre Krackar et la poutre qui l'avait déjà terminé.



Profitant que Krackar reprenait un peu son souffle, Vladov l'attaqua en faisant tournoyer sa poutre vers le champion d'Arkant, celui ci, malgré sa grande taille, parvint en s'abaissant à l'esquiver et à contre-attaquer d'un coup de poing de son bras souffrant qui vint s'écraser sur l'épaule de l'offensant, qui recula de quelques pas en faisant la grimace



Vint le tour d'Hygor, sur lequel le petit vieux - le père - beuglait de se reprendre "reprends toi abrutis !" qu'il hurlait toutes les secondes, Hygor n'avait plus sa poutre mais avait encore ses poings : il arma son bras de toute ses forces et décocha une énorme droite au Géant, moins puissante que la précédente qu'il avait prise, mais plutôt bien placée quand même : puisqu'elle vint frapper avec force dans sa mâchoire.

TEST D'AGILITE
NIVEAU : DIFFICILE
JET A OBTENIR : 24
JET OBTENUS : 40
TOTAL REUSSITE

Krackar ne parvint pas à toucher ses adversaires, qui bondirent en arrière pour éviter la sifflante hache. Il sauta donc du haut des escaliers, le sac d'enfants à la main, une fois en bas, et atteris sur la poutre, le voilà tout à fait capable de sortir en courant de cette tour.

Thorfin était arrivé quelques heures auparavant dans les plaines d'Hyrod. Après quelques perégrinations, il était arrivé au pied d'une tour délabrée.

Il avait entendu des cris et des coups dans la tour. On se battait à l'interieur.

Ne connaissant pas les lieux, il avait préferé maitriser sa curiosité et ne pas entrer dans l'édifice pour en savoir plus. Alors que on instinct le poussait à partir, sa curiosité avait finalement pris le dessus.

Au moment ou il allait rentrer dans la tour, il entendit des bruits de pas lours. Quelqu'un -ou quelque chose6 se dirigeait vers lui.

Il fit alors demi-tour rapidement et se plaqua contre le mur a coté de la porte qu'il avait laissé ouverte.

A ce moment, il dégaina prit son poignard dans la main droite et dégaina sa hache de la main gauche.

Il banda ses muscles et bloqua sa respiration afin d'entendre ce qui arrivait vers lui.

"Ca se rapproche" murmura-t-il...

ll se tenait prêt à se battre.

Thorfin vit une masse immense éviter sa jambe et remercia Dieu (si toutefois il existait) que l'éspece de grosse forme l'ai évité, sans quoi il serait unijambiste a l'heure actuelle.

Après quelques instants, il comprit que c'était un géant qui avait failli lui broyer la jambe. C'était la premiere fois qu'il en voyait un, et il était impressionné.

Le géant était salement amoché, il se dit qu'il avait bien fait de ne pas aller dans la tour. Il décida de rattraper le géant pour lui approter un peu d'aide, il avait l'air éxténué et serieusement blessé.
Le rattrapper serait un jeu d'enfant.

Il rangea ses armes et se mit a courir.
Une fois a quelques metres derriere lui il l'apostropha :

"Oh l'ami ! Tout va comme tu veux ?"

Thorfin regardait le génat s'éligner et haussa les épaules :

"Bah s'il veut cabanner, c'est son probleme ! Qu'il aille se faire cuire une soupe de fèves !"

Ayant remarqué l'état dans lequel se trouvait le géant, et son armement, il décida de ne pas rentrer dans la tour. Il continua sa route vers la ville d'Arkant. Il avait entendu dire qu'une révolution couvait. Peut être qu'il pourrait tirer profit de la situation...